« La RUMEUR D’ISTANBUL. Même aux moments où je ne lui ai pas prêté la moindre attention et me suis senti le plus solitaire, toute la journée, à l’instar des dix millions d’autres habitants, j’ai entendu gronder la rumeur de la ville : klaxons de voiture, ronflements d’autobus, pétarades de moteur, bruits de chantier, cris d’enfants, haut-parleurs des minarets et des camionnettes des marchands ambulants, sirènes de bateaux, sirènes de voitures de police, sirènes d’ambulances, cassettes (…)