Anthropologie urbaine

– Anthropologie urbaine des espaces publics de la capitale égyptienne : le Centre-ville (wast el-balad) et les jardins publics.

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Le Caire, Wast al-Balad (Donwtown Cairo), Egypte, le 16 nov. 2004, à minuit 03.

Cette anthropologie s’intéresse à des espaces particuliers de la métropole égyptienne : les espaces publics, et spécialement ceux du Centre-ville et des jardins publics. Ces deux types d’espaces, mêmes s’ils diffèrent à l’évidence, ont pourtant un destin commun : ils sont nés de la même époque (milieu du XIX^e siècle) et ont connu les mêmes vicissitudes (une progressive « popularisation » de leur fréquentation).

Il s’agit ici essentiellement d’étudier l’évolution (observée et dite par ses acteurs) du cadre de l’espace public lui-même, mais surtout de ses usages, des normes et manières de se comporter en situation d’anonymat urbain. Au contraire du travail anthropologique de terrain à Siwa, ce ne sont pas des relations à des individus/acteurs qui sont privilégiées ici, mais l’observation d’une foule et de ses individus.

– Les recherches menées au Caire, depuis 2002, sont :

• Les usages des espaces publics des jardins publics (avec une attention particulière au Jardin zoologique de Gizeh — Giza Zoo),

• Les usages des espaces public du Centre-ville,

• La nature dans la ville et paysages urbains,

• Une anthropologie des ambiances sonores urbaines au Caire (voir la partie Anthropologie sonore proprement dite).

– Prolongement de ces recherches en 2005 sur les espaces des jardins publics à Khartoum (Soudan).

– Possible suite sur Paris ? (mais il faut dire que je suis engagé dans tant de choses à la fois, que je ne suis plus très sûr de tout pouvoir mener à terme...) En tout cas, voir l’initiation possible d’un terrain dans mon quartier à Paris sur un type particulier de jardin : Un terrain à Paris ? Un jardin partagé temporaire à la Goutte d’Or.